cocarto est un outil de saisie de données cartographiques et territoriales. Vous lisez la huitième édition de la lettre mensuelle qui en raconte les développements, doutes, détails inutiles…
Import / Export
L’échange de données est évidemment une fonctionnalité centrale de cocarto : après tout, c’est un outil de gestion de données. En fait, une des motivations à l’origine de cocarto était d’aider les gens qui aujourd’hui s’envoient des fichiers csv par email. Nous avons depuis le début une forme d’export en geojson. Cela permet notamment d’utiliser les données d’une couche cocarto dans un SIG comme QGIS, en spécifiant comme source de données l’url du geojson. L’affichage sur la carte dans cocarto-même se base jusque-là sur du geojson — mais je m’avance.
Nous nous attaquons maintenant à ce chantier de façon frontale : les données de cocarto peuvent être exportées en csv et en geojson, et être importées depuis un fichier csv. Il reste à faire tout le reste:
- l’import et l’export vers des fichiers Excel, LibreOffice, peut-être aussi Google spreadsheet, et des formats géographiques : Shapefile et geopackage,
- la correspondance entre les colonnes du fichier et les champs de la couche,
- le ré-import avec mise à jour des rangs existants,
- l’export global d’une carte avec toutes les couches, et les pièces jointes,
- l’automatisation de tout ça,
- les performances,
- et… la gestion d’erreurs.